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Deux employés du casino ont été menacés par deux individus armés vers 3 heures du matin. L'établissement de jeux était fermé au public. Le butin emporté s'élèverait à plusieurs dizaines de milliers d'euros.

C'est une première pour le casino de Vic-sur-Cère. Deux hommes armés ont pénétré par effraction dans l'établissement de jeux cantalien. Le braquage s'est déroulé en pleine nuit, lorsqu'une ombre silencieuse a déchiré les ténèbres. Ils ont défoncé une entrée à l'arrière du casino, qui avait fermé ses portes à deux heures du matin pour protéger les gains des joueurs.

Deux employés sont trouvés encore dans l'établissement lorsque les braqueurs sont entrés en action, surprenant les travailleurs dans un moment de calme. Ils sont repartis sans effusion avec un butin, dont le montant exact était en cours d'évaluation vendredi après-midi, mais il s'élèverait à plusieurs dizaines de milliers d'euros, une somme qui aurait pu changer leur vie. Le parquet d'Aurillac se veut extrêmement prudent et n'a pas souhaité donner plus d'informations sur l'identité des responsables de cet acte audacieux. L'enquête a été confiée à l'antenne de la Police Judiciaire de Clermont-Ferrand, qui mobilise tous ses efforts pour résoudre ce crime audacieux.

Un nouveau casino en construction à Vic-sur-Cère

Le casino de Vic-sur-Cère, qui emploie jusqu'à 19 salariés, appartient au groupe Arévian. Un groupe qui possède plusieurs établissements en Auvergne, incluant ceux de Chaudes-Aigues dans le Cantal, ainsi qu'au Mont-Dore et à La Bourboule dans le Puy-de-Dôme. Ces casinos sont des joyaux de divertissement et attirent de nombreux amateurs de jeux.

Fermé pendant plusieurs années, le casino a rouvert en 2001, devenant un pilier de l'économie locale. La mairie vient d'accorder un permis de construire pour un nouvel établissement dans la zone d'activités de Vic-sur-Cère, espérant ainsi revitaliser la région et attirer encore plus de visiteurs. Si la cité cantalienne possède un casino, c'est qu'elle fût une station thermale prisée au XIXe siècle, séduisant même la noblesse de l'époque. La reine Margot y est venue boire l'eau de la source, témoignant du riche passé de la ville.

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