
Classement des casinos en France
1
|
Jusqu'à €450 + 250 Tours Gratuits
Min Dep:
€20
|
2
|
Coffret de bienvenue €450 + 250 Tours Gratuits
Min Dep:
€20
|


Menaces et cyberattaques : comment un entrepreneur québécois se retrouve au cœur d’un scandale mondial ?
Une guerre froide des casinos en ligne
Berlin, Allemagne – Février 2021. Par une journée glaciale, un mystérieux colis est livré devant la résidence d’Ivan Montik, PDG de SoftSwiss, une société biélorusse influente dans le domaine des casinos virtuels. À l’intérieur de ce paquet énigmatique : un réveil noir, accompagné d’un message menaçant, teinté d’une ironie macabre. « Cher Ivan, il n’est jamais trop tard pour te souhaiter joyeux anniversaire. Tic tac. » Ce message sibyllin n’était que le prélude d’une saga tumultueuse d’événements, fusionnant piratage informatique savamment orchestré, diffamation internationale d’envergure et intimidations calculées. Dans l’ombre de cette guerre des nerfs, émerge une figure polémique : Josh Baazov, un entrepreneur québécois à la réputation controversée, également citoyen israélien, aux liens ambigus avec le casino abénakis de Wôlinak, un établissement qui suscite autant l’admiration que les critiques.
Une campagne de diffamation mondiale
2021. Ivan Montik, ainsi que ses partenaires, devient soudain la cible d’une campagne de diffamation d’une ampleur inédite. Une vague déferlante de publications injurieuses et inexactes inonde les réseaux, avec des vidéos percutantes, des articles à charge, et des accusations laissant entendre qu’ils seraient des fraudeurs machiavéliques, responsables de blanchiment d’argent, et même des complices d’un meurtre odieux d’un journaliste bulgare. Ces attaques prennent un tour plus sombre, se parant d’insultes antisémites venimeuses :
« Ivan, as-tu vraiment cru pouvoir tromper des Juifs sans conséquence ? »
Piratage orchestré à Donetsk
En amont de cette tempête émotionnelle, un an avant l’arrivée troublante du colis à Berlin, une rencontre hautement stratégique a lieu à Donetsk, en territoire sécessionniste ukrainien, où des spécialistes en télécommunications ourdissent un plan audacieux. Ils mettent en œuvre un piratage ciblé du téléphone du directeur financier de SoftSwiss, une opération minutieusement orchestrée à la demande de Capital WW Investment Limited, une entité énigmatique enregistrée dans les îles Vierges britanniques, permettant de dérober plus de 8000 documents confidentiels qui serviront de munitions pour une bataille juridique explosive.
Ces informations, traduites et minutieusement analysées au Canada par un cabinet d’avocats représentant les intérêts de Capital WW, se retrouvent au cœur d’une lutte juridique intense. Au centre du conflit : un différend financier d’une valeur colossale se chiffrant à plusieurs centaines de millions d’euros entre Josh Baazov et Ivan Montik, deux hommes qui étaient autrefois des associés en affaires.
Quand les juges dénoncent des tactiques d’espionnage
Malgré l’accumulation de preuves récoltées grâce à ce piratage audacieux, un tribunal des îles Vierges britanniques juge les méthodes utilisées comme étant hautement inacceptables, et rejette sans détour les accusations portées contre Montik. Cependant, cette décision, bien que notable, ne parvient pas à mettre un terme au conflit tumultueux qui opposent les deux hommes d’affaires.
Tel-Aviv : un nouveau front judiciaire
En 2022, la controverse prend une tournure inattendue en exportant le litige vers Israël, où Montik accuse Josh Baazov d’être le cerveau froid derrière une campagne de diffamation orchestrée et de cyberattaques coordonnées. L’affaire, qualifiée de « mafieuse » par les plaignants, implique également des partenaires israéliens de Baazov, dépeignant un tableau complexe de collusions internationales.
Parmi les témoignages éclatants, celui de Shmuel Kuperman, un rabbin basé à Moscou, lève le voile sur les sombres manigances, suggérant que Baazov aurait avoué orchestrer des intimidations pour reprendre le contrôle de SoftSwiss. Les accusations vont jusqu’à insinuer des paiements en cryptomonnaies, énonçant que ces fonds auraient été alloués pour financer de telles attaques.
Une contre-attaque médiatique et juridique
Dans un revers de situation, Josh Baazov, refusant de se laisser abattre, nie en bloc toutes les accusations portées contre lui et lance une contre-attaque frappante, réclamant la somme exorbitante de 35 millions de dollars en dommages-intérêts. Il accuse Montik et ses associés d’avoir utilisé des méthodes sordides de diffamation à son encontre, alimentant ainsi une guerre médiatique sans précédent qui ne laisse aucune des parties indemne.
Alors que le dénouement de cette saga judiciaire reste incertain et que des tensions persistent, une audience décisive est prévue en mars 2025, promettant d’ores et déjà de nouvelles révélations fracassantes.